Rayonnement… Partage d’expériences
Des expériences, des témoignages…
Un espace de rayonnement… qui dépasse sa propre sphère…
Laisser une trace…
- Recueillir ce qui a valeur pour chacun quant à son cheminement
- Etre aussi un témoin actif en partageant un vécu constructif au fil des séances, « ses vivances », et permettre de générer des échos porteurs à ceux qui en percevront, à la seule lecture, les résonances, individuelles ou collectives
« Je m’appelle Sandrine, j’ai 48 ans, je pratique la sophrologie depuis 3 ans avec Nathalie.
Cela remonte à 4 ans. Dès que mes enfants ont fait leur entrée en 6e, j’ai commencé à ne plus dormir, à pleurer. J’ai donc décidé de consulter un psychiatre qui, après 1 an de thérapie, m’a orientée vers la sophrologie. Je dois dire que pour moi cela a été une révélation. Après quelques séances individuelles, j’ai participé aux séances collectives qui m’ont fait grand bien, surtout dans le cadre de mon travail. Vous rencontrez des personnes qui sont dans la même démarche que vous, avec leurs propres histoires, le partage reste présent.
Lors de ces séances, Nathalie adapte celles-ci en fonction de ce que nous avons vécu précédemment. C’est réconfortant d’une part, et d’autre part vous repartez plein d’énergie positive, prêt à affronter le quotidien.
Pourquoi je témoigne ? Parce que je ne voudrais pas que les gens soient réfractaires à cette pratique. Vous restez vous-même, avec plus d’assurance. J’ai retrouvé mon tempérament que j’avais plus jeune mais en gérant le quotidien ainsi que mes émotions. La sophrologie vous aide également à être à l’écoute de son corps. Celui-ci vous envoie des signaux alors n’ayez pas peur de les capter car le corps et l’esprit sont liés.
Je ne vous cache pas que cela a demandé du temps mais à force de pratiquer, cela a porté ses fruits. Aujourd’hui je fais une ou deux séances individuelles et je participe également aux rencontres que Nathalie organise. Cela me permet de garder le lien avec les autres patients.
Merci à Nathalie de m’avoir accompagnée durant cette période délicate et parfois douloureuse.»
« En quête d’inspiration et d’un meilleur équilibre, j’ai eu la chance de trouver Nathalie sur mon chemin, il y a plusieurs mois.
Elle avait organisé, mi-avril, un stage de trois jours : “Sophrologie , Méditation et Pilates” à Moustiers Ste Marie, dans l’ancien Monastère de Ségriès .
Dès mon arrivée là-bas, tout a résonné en moi : l’accueil, les lieux, la nature généreuse et luxuriante à souhaits et les séances guidées avec tellement de bienveillance !!
La “magie” a opéré !
“HARMONIES” est le fruit de ce séjour.
Ce sont des jets de vie, une sorte de libération de l’âme, un élan né sous mes mains et mes pinceaux .
Merci à Nathalie et aussi à Magali, notre professeur de Pilates.» Roselyne Boucher, 61 ans

La vidéo de Jimmy, 26 ans
Retrouver l’article complet : https://lasophro.com/confiance-et-performance-sportive/
Elisa, 19 ans
Je fais partie de ces personnes qui cultivent le trop. Je pense trop. J’intellectualise tout car cela me permet de mieux comprendre ce qui m’arrive, de me représenter les choses, de leur donner une forme qui a du sens. Je suis aussi témoin de notre monde, un monde qui a tendance a tout vouloir normaliser, en faisant parfois même croire que tout ce qui sort des cases « normal ou standard » relève parfois de la maladie, un monde aussi qui donne la primauté à la consommation. Régalez-vous, montrez-vous, découvrez tout… sauf vous !
En réponse à tout ça je me suis sentie envahie de tristesse puisque je ne voyais pas comment changer ça. Je n’en parlais pas, je me disais que ça allait passer. Cela a fini par ne plus me connecter au monde. J’ai commencé à avoir peur, me sentir désespérée, ne plus m’aimer, comme avec des démons intérieurs qui tapaient en moi pour m’éloigner toujours plus de ce que j’avais pu être. Je m’efforçais de montrer le contraire. Avais-je le droit de me plaindre ? J’avais honte. Alors la journée je me raccrochais aux autres : j’ai toujours été très attentive à ce qu’on me dit, à ce qu’on exprime, c’est un peu compliqué à expliquer mais j’ai souvent l’impression de ressentir la personne dans sa globalité, de ressentir même tout plus fort. J’ai depuis compris mon hypersensibilité, mes capacités d’empathie qui m’ont aussi rendues exigeante car j’en attendais autant des autres !! Le décalage entre mes espérances et les situations réelles ont nourri une frustration qui m’est apparue insurmontable… et qui peu à peu s’est transformée en angoisses. Et je pensais toujours beaucoup…trop… Le diagnostic est là : un trouble de l’anxiété généralisée. Tout ce qui avait de l’importance pour moi en temps normal n’en avait plus ; la pire chose pour moi, la perte de contrôle.
Aux côtés d’un traitement, j’ai commencé les séances de sophrologie qui m’ont été d’une aide précieuse ; je me suis sentie rassurée, intéressée et au fil des séances, j’ai repris peu à peu confiance en moi. Je comprends enfin qu’il ne faut pas se laisser rétrécir par rien ni personne et encore moins par soi-même. J’apprends petit à petit à me libérer des angoisses, à relativiser le pessimisme ambiant qui me pesait et … je me sens beaucoup plus libre !